(Alsace,
Lorraine) Trésors perdus, cachés, oubliés des régions de France
Chère amis lecteurs et lectrices, après
un long silence suite à des projets personnels, me voici de retour pour
reprendre nos articles consacrés aux trésors perdus des régions de France avec
cet article qui va être consacré aux trésors des régions Alsace et Lorraine
proposé par M. Audinot à travers ces années de recherche des trésors perdus au
cours des siècles.
Bas-Rhin
(67) :
LICHTENBERG (67340) - Affaire d’héritage
Les Lichtenberg furent longtemps la
famille la plus puissante de toute l’Alsace.
Les successions s’y réalisaient
toujours dans le sang et les larmes. L’un des seigneurs fit ainsi périr son
frère de faim dans un cachot afin d’éviter tout partage.
C’était en 1480, et la division
était devenue inévitable. Le frère maltraité avait caché son or quelque part
dans les souterrains du château avant d’être mis au cachot et c’est sans doute
pour obtenir son secret qu’on l’avait enfermé. Il périt sans dire mot et cette
part de la succession reste à retrouver.
OBERSOULTZBACH (67330) - Le secret de la Pierre au Trésor
Au nord d’un bois de chênes situé
entre Obersoultzbach et Weinbourg et du côté gauche de la route à la lisière de
la forêt, on trouve une vieille borne de pierre portant l’inscription OS B 61
qui ressemble à cette borne.
L’histoire de ces
bornes est présentée sur ce blog : http://www.alouette-bleue.fr/SiteWeiters/bornes.html
Selon les traditions locales, cette
pierre indiquerait la direction vers laquelle serait enfoui le trésor de tout
un village. Celui-ci aurait été vraisemblablement rasé lors d’une guerre civile
qui secoua la région en 1525 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_des_paysans_en_Alsace_et_en_Lorraine
Connue sous le nom de « guerre des
paysans», elle souleva sans succès le petit peuple contre la noblesse locale et
finit dans un bain de sang, avec plus de vingt mille exécutions sommaires de
révoltés.
Selon une autre version, ce trésor, toujours celui d’une communauté, aurait été caché pendant la guerre de Trente Ans, entre 1618 et 1648.
Mais ces traditions sont peu probables car ces guerres sont bien antérieures à la pose de ces pierres.
Selon une autre version, ce trésor, toujours celui d’une communauté, aurait été caché pendant la guerre de Trente Ans, entre 1618 et 1648.
Mais ces traditions sont peu probables car ces guerres sont bien antérieures à la pose de ces pierres.
Haut-Rhin
(68) :
LUCELLE (68480) — Un trésor enterré en forêt
Forcés d’évacuer leur abbaye pendant
la Terreur, les moines de Lucelle accumulèrent tout ce qu’ils avaient de
précieux, y compris les objets du culte, et allèrent enfouir l’ensemble en
forêt non loin des bâtiments de leur fondation.
Quelques survivants à cette
expédition survécurent aux événements et purent revenir en France après le Concordat
de 1801. https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9gime_concordataire_fran%C3%A7ais
Faute de repères précis, ils ne purent
retrouver la cache. Le trésor aurait été enfoui «près d’un arbre toujours vert»,
if ou sapin, comme on en rencontre près des abbayes, car ils symbolisent la
pérennité du sacrifice christique. La difficulté à Lucelle, c’est qu’avant la
Révolution, il y avait peu de ces arbres, mais qu’en 1801, la forêt était
devenue une véritable plantation de conifères. L’abbaye fut détruite et e
trésor de Lucelle ne fut jamais retrouvé.
RIBEAUVILLÉ (68150) - Le trésor de Saint-Ulrich
Autrefois, deux forteresses de nos
jours en partie en partie démantelées se dressaient fièrement sur les hauteurs
de Ribeauvillé. C’étaient les châteaux de Saint-Ulrich et de Giesberg.
La légende dit qu’ils étaient
habités par deux frères qui passaient leur temps à rivaliser d’adresse à la
chasse. Ils partaient ensemble tous les matins et convinrent un jour que le
premier réveillé alerterait l’autre en tirant un trait d’arbalète, de château à
château, dans l’auvent de la chambre à coucher de son frère. Le futur saint
Ulrich fut le premier debout, mais le carreau de son arme arriva à la fenêtre au
moment où son frère ouvrait ses volets. Il fut foudroyé. Fou de douleur, Ulrich
enfouit tous ses biens dans un souterrain qui reliait leurs deux châteaux et
passa le reste de sa vie à se morfondre en prières et en privations, comme un
ermite, dans la forêt où il avait autrefois tant chassé avec son regretté
frère.
La véracité de cette histoire est
étayée par les faits. Le sous-sol des deux châteaux était en effet percé de
nombreuses galeries de mines très profondes dont l’exploitation avait cessé au
moment des faits, car elles étaient en partie inondées. Ce sont ces couloirs
souterrains, auxquels on peut encore accéder pour certaines parties, qui
constituent le fameux souterrain de la tradition.
Voici un site qui analyse de façon pertinente cette légende :
Meurthe
et Moselle (54) :
CIREY-SUR-VEZOUZE (54480) - Trésor de cisterciens
Près du village, on trouve quelques
restes d’une monumentale abbaye cistercienne, laissée à l’abandon pendant La
Révolution. Le trésor des moines serait caché dans les environs du couvent,
dont seul un très beau portail a surmonté les assauts du temps. Ce dépôt serait
principalement constitué des cloches clandestinement descendues pour être
soustraites à la fonte.
NANCY (54000) - Une mallette de diamants enterrée dans un bois
Au début de la Seconde Guerre
mondiale, les riches et réputés joailliers hollandais s’inquiétèrent pour leur
fortune face à la montée du nazisme. L’invasion de La France paraissant
pourtant improbable, certains y firent transiter des pierres de valeur. L’un
d’entre eux fur surpris par le raid allemand sur L’Est de La France. II fut
blessé le long d’une route et confia sa précieuse mallette remplie de gemmes à un
officier français, avec une adresse pour la mettre en sureté. Mais l’homme de confiance
se retrouva lui-même vite encerclé par l’avancée allemande, au milieu de ses
soldats presque tous blessés, dans un petit bois de la banlieue proche de Nancy.
Un tir d’artillerie lui donna
quelques moments de répit. Il fit creuser une fosse dans laquelle furent jetés
les cadavres des combats précédents.
Avant qu’elle ne soit refermée, il y
précipita la mallette. Depuis, le bois a été nivelé, mais la mallette y repose
toujours. Dans les années 1960, l’écrivain et chercheur de trésors Robert
Charroux y tenta une première investigation au détecteur de métaux qui ne donna
d’autre résultat que la découverte des restes d’un soldat allemand victime des
bombardements, squelette encore accroché à un vélo et enfoui pratiquement au
niveau du sol.
Meuse
(55) :
MONTMEDY (55600) - Le trésor de Louis XVI
Lorsqu’elle fut arrêtée à
Varennes-en-Argonne, le 21 juin 1791, la Famille royale se dirigeait en fait
non pas vers l’étranger, mais sur Montmédy, siège d’une imposante forteresse
qui eut permis de faire face à la Révolution grâce à l’appui des émigrés et des
armées étrangères. La tradition veut que la berline de Louis XVI ait été
précédée par des convois transportant un véritable trésor de guerre. Dès l’annonce
de l’arrestation du roi, ces biens auraient été enfouis dans les souterrains de
la citadelle remaniée par Vauban, au sein des coursives salles et galeries qui existent
toujours, parfaitement intactes. Selon une autre version, le dépôt aurait été
caché dans le souterrain qui reliait autrefois « Le Refuge de Montmédy,
c’est-à-dire la maison qui était destinée à recevoir la famille royale, à
l’abbaye d’Orval.
Quand les troupes françaises
franchirent la frontière, il leur fut impossible de mettre la main sur le
trésor des moines, que l’on dit avoir été dissimulé dans le même souterrain que
celui qui abritait déjà le dépôt royal. De nos jours, « Le Refuge existe
encore, mais personne n’a jamais pu y découvrir l’entrée du fameux souterrain.
Des traditions situent le même dépôt dans la « Maison Mathieu », rue des
prêtres, ou dans les caves de l’hôtel du Chevalier Michel, près de l’église
Saint-Nicolas. On dit aussi que le trésor reposerait au fond du vieux puits,
dit Grand Puits qui, partant des souterrains, atteint la profondeur de moins
quatre-vingt-deux mètres. Personne ne s’y est jamais aventuré pour vérifier
cette hypothèse.
Si l’on interroge les anciens du
pays, on trouve d’autres pistes intéressantes.
Ainsi, deux braconniers ont,
longtemps après les faits, affirmé avoir vu les moines d’Orval enterrer un
lourd dépôt, de nuit et en forêt, près d’un menhir dit Blanc.
Cela se passait pendant la Révolution.
Les trésors d’Orval
L’abbaye d’Orval est située en
pleine forêt de Merlanvaux, à quinze kilomètres seulement de Montmédy, à peine
enclavée en territoire belge. Entre 1792 et 1793, les moines vont jouer à
cache-cache avec les républicains qui passent et repassent la frontière. Il n’y
a plus un moine en juin 1793, lorsque l’abbaye est écumée par les troupes
françaises qui en enlèvent des charrois de marbres. Mais de trésor, point. En
1796, la congrégation est dissoute. En 1803, il n’en reste, comme biens
mobiliers, qu’une vaste bibliothèque dont les milliers de volumes sont
finalement mis en vente. Le charrier de l’abbaye lui-même n’est pas épargné. Il
est racheté par un spéculateur qui utilise les feuillets pour faire des cornets
à tabac. Les bâtiments tombèrent par la suite dans la plus grande ruine, sans
que le trésor des moines d’Orval, auquel avait peut-être été rajouté dès 1791
celui de la famille royale, ne soit jamais découvert.
Dans son Histoire de l’abbaye
d’Orval de 1948, l’abbé Tillière reconnaît que beaucoup d’objets précieux ont
disparu. Lui aussi pense qu’ils ont été cachés par les moines avant leur flute.
Mais où ont-ils été dissimulés?
Seul le dernier abbé de l’abbaye, un
certain Mitré et son trésorier, disparus dans la tourmente, le savaient. On
parle des caves, mais aussi de souterrains qui en partiraient, protégés par des
circuits d’eaux souterraines. Des recherches conduites là au début de l‘Empire
menèrent à l’écoute de bruits venant des profondeurs de la terre qui ne
pouvaient être autrement expliqués. Ces circuits seraient les treize canaux
souterrains d’Orval, chacun portant le nom d’un bon apôtre et le dernier, celui
de Jésus. De nouvelles fouilles furent entreprises en 1813 par un entrepreneur
qui fut tué par ses complices. Lui aussi voyait le trésor dans des réseaux de caves.
Nouvelles tentatives en 1814, sous
l’égide de la confrérie des Errants de Nuit, et vingt-deux membres des équipes
de fouilles se noient dans une mine creusée par eux sous l’étang.
En 1840, le site est de nouveau
l’objet de fouilles, après que Naundorft prétendu Louis XVII, se fit livré sur
place à ses propres recherches. Elles sont cette fois-ci l’objet d’une fouille
en commandite par une société dont la trésorerie disparaît mystérieusement. Peu
à peu, dans ces tourments, Orval retrouva sa vocation monastique.
En 1926, deux cisterciens furent
autorisés à fonder une nouvelle communauté. Elle est maintenant très prospère. Où
chercher Le trésor des moines, si longtemps mais sérieusement convoité?
Les souterrains, dont le réseau
n’est pas totalement connu, sont bien tentants.
Mais, on parle aussi du fond de
l’étang de la Ronde-Couture, ou d’un autre, plus éloigné. Des témoins, des
braconniers encore, avaient dit avoir vu sous la Révolution des moines creuser
de nuit dans la forêt pour y enterrer quelque chose.
Ce « quelque chose » est-il le
trésor de l’abbaye dont la fondation était presque millénaire? Si l’on veut se
faire une idée des richesses incroyables que possédait l’abbaye, il suffit de
feuilleter son « terrier»; un grand manuscrit de 740 pages relié en argent et
dit « Le livre des pieds du terrier d’Orval. Entendons ici par« pieds » la
mesure de longueur en usage pour évaluer la superficie des biens fonciers. On y
trouve aussi un inventaire des objets précieux reçus par l’abbaye tout au long
de son histoire avec, sur la couverture, ce teste gravé en relief: « Qui terre a,
guerre a, qui n’a, pis a. » Dans le chapitre intitulé «Estat des valeurs
richesses et trésors de l’abbaye d’Orval», on y découvre un inventaire des biens
totalement disparus. Ceux qui, précisément, composent le trésor: vierges d’or
ou d’argent, bijoux donnés par des particuliers, lingots, pierreries, marcs
d’or et d’argent, crosses d’or s’y succèdent en litanie. À ce jour, tout cela
constitue cette extraordinaire fortune que l’on nomme « le trésor d’Orval» et
qui, localement, a suscité et suscite encore bien des convoitises.
VERDUN (55100) — La dot des malheureuses vierges
Lorsque pendant la Révolution, la
ville de Verdun fut investie par les troupes de Brunswick, la population
accueillit l’envahisseur par des liesses et des fêtes. Une cérémonie particulière
fut donnée, au cours de laquelle des jeunes filles des meilleures familles de
la ville, toutes vêtues de blanc, vinrent remettre des bouquets et des gerbes
de fleurs au conquérant. Parmi elles, on comptait trois orphelines très riches:
les sœurs Watrin. La ville fut finalement reprise par les Français et près de
quarante des participants à la réception dénoncés par leurs concitoyens.
C’est ainsi que les sœurs Watrin et
quelques autres femmes de Verdun, dont l’une comptait plus de soixante-dix ans
d’âge, furent emprisonnées.
Elles restèrent dans leurs geôles
jusqu’en 1794, année au cours de laquelle elles furent finalement transférées à
Paris pour y être jugées. Les plus jeunes furent condamnées à vingt ans de
détention, les autres furent guillotinées.
Parmi ces dernières, se trouvaient
les sœurs Watrin, dites « les vierges de Verdun». Avant d’être arrêtées, elles
avaient morcelé leurs dots, toute leur fortune, en douze dépôts cachés ou
enterrés en différents endroits de Verdun.
Le montant total de ces dots
atteindrait 10 000 livres et 5 000 écus en monnaies, le tout accompagné de
bijoux. Les trois sœurs Watrin se prénommaient Anne, Hélène et Henriette et
étaient respectivement âgées de vingt-cinq, vingt-deux et vingt-trois ans. La
traque de ces trésors a longtemps occupé les gens de Verdun, et c’est ainsi que
leur histoire nous est parvenue.
Moselle
(57) :
HASELBOURG (57850) - Les dépôts du rocher du Coucou
Toutes les grottes de la région
connurent un usage de refuge collectif pour la population, que ce soit pendant
la guerre de Cent Ans, les guerres de Religion, ou en 1632 à l’occasion du déferlement
des troupes suédoises. C’est ainsi qu’une vaste caverne s’ouvrait autrefois à
cent cinquante mètres du rocher dit du Coucou, autrefois siège d’un castrum
romain.
L’entrée de cette grotte est
maintenant perdue, mais les traditions locales attestent de son existence. On
dit que de nombreux trésors y seraient encore dissimulés, si c’est une
hypothèse probable. Le souterrain servit plusieurs fois de cache à des
villageois qui traînaient avec eux, pour le mettre à l’abri, tout ce qu’ils
pouvaient posséder.
Le trésor des nonnes
À Haslbourg, on vous racontera « qu’il y a bien longtemps de cela, des nonnes enfouirent un coffre plein d’or et d’objets précieux dans une caverne de la montagne. L’âme errante de l’une d’entre elles aborderait parfois les promeneurs évoluant malgré eux près de la cachette. Elle leur tendrait alors un trousseau de clés supposé ouvrir la cache. La légende conte que le dernier témoin connu à avoir assisté à cette scène de hantise refusa de se saisir du trousseau. La dame blanche fondit en larmes de dépit et depuis, elle erre encore plus souvent près de la cachette.
MOULINS-LES-METZ (57160) - L’étonnante histoire de l’Aigle du 57e régiment de ligne
En octobre 1870, les troupes françaises
se retrouvèrent prises au complètement encerclées par Les Prussiens dans les
citadelles de Metz et de Sedan. S’ensuivirent de poignantes scènes d’adieux au
cours desquelles, avant de se rendre à l’ennemi, la plupart des officiers
détruisirent Les Aigles qui leur avaient été confiées. Le drapeau de l’un des
régiments pris dans l’enclave avait été, avec son Aigle, miraculeusement sauvé
«des hordes tudesques» par le porte-drapeau Bonnet et le sous-lieutenant
Picquant.
Les deux furent appelés dans sa
tente par Le Colonel Verjus, qui commandait le régiment alors cantonné à
Moulins-Les-Metz, citadelle prête à se rendre. L’ordre leur fut donné par
l’officier supérieur de s’enfuir «par la route de Longevilles, de se constituer
prisonnier dans les lignes allemandes et d’y rendre leur trophée. Ils ne purent
s’y résigner et c’est sur ce cours trajet qu’ils prirent La décision d’enfouir
le trésor dont ils avaient la garde, une belle Aigle Second Empire qu’ils ne
pouvaient se résigner à voir prise par l’ennemi.
Vosges
(88) :
RAON-SUR-PLAINE (88110) - Le trophée disparu
Les trophées militaires, qu’il
s’agisse d’Aigles romaines du Premier Empire et du Second Empire, d’emblèmes
nazis ou de Coqs français, constituent une catégorie de trésors à part, enfouis
généralement à l’issue de défaites, pendant des encerclements, ou bien lors de
retraites. Le 22 juin 1940, alors que sa position devenait intenable, le 154e
régiment d’infanterie brûla ainsi son drapeau dans le bois situé à quelques
kilomètres de Donon dans les Vosges, sur la route de Raon-sur-Plaine au col de
Prayé «à environ 1 500 mètres des dernières maisons de Raon ». L’emplacement où
eut lieu l’autodafé eut droit bien plus tard à une plaque commémorant l’événement.
On ne sait pas, le drapeau consumé,
ce que devinrent la hampe métallique et le fer de lance. Ils auraient été
enfouis par le porte-drapeau, le lieutenant Maurice Harland, «dans un petit
bois situé derrière le cimetière du hameau de Donon ».
Après sa captivité, ce lieutenant
fit vainement tout ce qui lui était possible pour retrouver, mais sans succès,
l’emblème de son régiment, toujours enfoui dans ce petit bois, mais difficile à
localiser, fautes de repères pris au moment des faits. D’ultimes recherches ont
été conduites sur place en 1955, avec des détecteurs de mines de l’armée, mais
sans résultats probants.
VOMECOURT-SUR-MADON (88500) - Trésor d’émigré
À la Révolution, le seigneur de Vomécourt,
situé en pleine ligne de tir entre Autrichiens et Français, préféra émigrer,
tout en laissant sa fortune cachée dans quelque partie du château ou de son
parc. La demeure, minée, fut détruite en 1850, mais le trésor, peut-être enfoui
à l’extérieur, est resté introuvable.
Merci à tous de suivre ces histoires
des trésors de nos régions.
A bientôt pour de nouvelles
histoires de trésors perdus, cachés, ou oubliés dans nos chères régions de
France.
Amicalement
Faachar
Ravi de ton retour Faachar et des articles consacrés aux Trésors Perdus de nos Régions.
RépondreSupprimerLolo34