vendredi 22 novembre 2013

(PACA) Trésors perdus, cachés, oubliés des régions de France


Chère amis lecteurs et lectrices, aujourd’hui suite à la demande d’un autre lecteur de ce blog, cet article va être consacré aux trésors de la région Provence Alpes Cote d'Azur (PACA) proposé par M. Audinot à travers ces années de recherche des trésors perdus au cours des siècles.


Alpes-de-Haute-Provence (04)
CÉRESTE (04280) — Les trésors d’un faux-monnayeur très productif
En l’an X, sévissait à Céreste un faux-monnayeur particulièrement habile qui réalisait de fausses pièces d’or, difficiles à reconnaître des vraies, à partir d’un alliage composé d’un tiers de bismuth et de deux tiers d’étain.
Il avait établi son atelier dans les salles de l’ancien Prieuré de Carluec, situé sur le territoire de Céreste et abandonné depuis la Révolution.
De là, il noyait littéralement la région sous les fausses pièces d’or. Il put être arrêté et différents dépôts et trésors issus de sa production furent retrouvés «sous l’escalier de l’église [chapelle] du couvent et même sous les voûtes». Restent d’autres caches à y retrouver, les fouilles de la police n’ayant pas permis de toutes les découvrir.
CHATEAUNEUF-LES-MOUSTIERS (04120) - La forteresse souterraine des Templiers
On découvre, aux alentours de Châteauneuf une très belle entrée de caverne perdue en altitude, dans les falaises, et dont l’accès est encore barré par les vestiges d’une forte enceinte médiévale.
Il s’agirait d’une citadelle aménagée pour protéger l’imposante caverne et ceux qui, au Moyen Âge, occupaient la place.
On dit que cette citadelle appartenait aux Templiers et l’on évoque à son sujet un trésor qui y serait caché depuis le XIVe siècle.
SISTERON (04200) - Le trésor des Burgondes
Selon certains historiens régionaux, le trésor des Burgondes, raflé au Ve siècle par Attila, reposerait encore dans une grotte ou une caverne des montagnes entourant Sisteron, passage obligé selon eux, des hordes hunniques qui, après la défaite de 451, se rendirent en Italie.
L’authenticité de cet enfouissement n’a été à ce jour affirmée que par de simples traditions populaires qui peuvent confondre avec les trésors mauresques, très nombreux dans la région et eux aussi réputés enfouis dans des grottes.


Hautes-Alpes (05)
ÉOURRES (05300) - Un veau d’or dans les rochers
Les croyances locales font état d’un trésor, ici un veau d’or, qui serait caché dans les rochers de la montagne de Néou, probablement au cœur d’une grotte autrefois sacrée, entre les montagnes du Pied-du-Mulet et de la Maue et précisément sur l’itinéraire suivi par les armées d’Hannibal.
Des dépôts, dont un beau bouclier en argent, ont été déjà trouvés sur les bords de la voie empruntée par le Carthaginois.
SAINT-CREPIN (05600) - Les retraites souterraines des Vaudois et leurs trésors
Pas bien dangereux mais dérangeants, Les Vaudois furent sans aucun doute plus encore qu’ailleurs maltraités dans cette région.
En mars 1489, les hérétiques de Saint-Crépin, Rame, Pont-de-la-Roche et Freyssinières, furent sommés de se livrer d’eux-mêmes aux autorités.
Ces bougres, comme on les désignait alors, ne l’entendirent pas de cette oreille et allèrent, en petits groupes, tenter de se dissimuler dans des cavernes très difficiles d’accès situées sur les versants de la vallée de Freyssinières bien résolus à s’y murer et à se défendre jusqu’à la dernière extrémité.
Compte tenu du sort qui, ailleurs, avait été réservé à d’autres communautés vaudoises, on comprend leur peu d’entrain à se rendre. Le 5 avril, les soldats entourèrent tous les accès aux cavernes, les hérétiques étant en plus grand nombre terrés dans celle dite «proche de l’église du hameau de Freyssinières».
Les combats durèrent quatre heures et se terminèrent par leur reddition. Ceux qui pouvaient marcher furent traînés jusqu’à Avançon et Embrun pour y être jugés, les autres furent provisoirement enfermés dans Ie château de Saint-Crépin.
Dans les semaines qui suivirent, les survivants de cette communauté furent entièrement décimés.

Longtemps on se livra autour de Gap, d’Embrun, à la chasse aux trésors des Vaudois que l’on savait cachés, en petits dépôts, dans les montagnes ou au cœur des cavernes où ils avaient trouvé un ultime refuge.


Alpes-Maritimes (06)

EZE (06360) - La cassette de Marcel Déat
Marcel Déat, chef de la milice pendant l’Occupation, se serait échappé vers l’Espagne avec un trésor de guerre dont l’on voit des éléments hâtivement enfouis ou cachés un peu partout.
On dit en particulier qu’il aurait jeté une cassette pleine d’or et de bijoux dans la baie d’Eze, juste avant de quitter la France par un périlleux passage de frontière
Bouches-du-Rhône (13)
 LANÇON-PROVENCE (13680) - Trois statues d’or au fond d’un puits
Situé près de la commune de Lançon, l’oppidum dit de Constantine se présente comme l’emplacement d’une ancienne ville gauloise couvrant pas moins de dix-huit hectares.
Depuis le XVIIIe siècle, les antiquaires pratiquent des fouilles à la recherche d’objets antiques. La place a livré des statuettes gauloises en jaspe, bronze, argent et même en or. On y a aussi collecté de très nombreuses monnaies antiques, comme semées sur le sol.
Sur cette place, on peut, si l’on est curieux, découvrir une profonde cavité naturelle, un aven, étrangement bouché par des moellons de pierre à la profondeur de quatre-vingt-quatre mètres.
Ces cailloux ont été entassés là intentionnellement pour fermer l’accès à l’aven, et ce à une époque indéterminée. La légende veut que trois statues en or massif soient cachées dans le fond de la cavité. La chose est parfaitement possible.
On a effectivement déjà découvert, en 1877, une très belle statue de Jupiter en marbre enterrée juste près de la gueule de cet aven.
Au XVIIe siècle, des fouilles ont été conduites pour tenter de retrouver ces statues. La technique des ingénieurs de l’époque a consisté à creuser un puits vertical exactement parallèle et mitoyen à l’aven. Les travaux n’ont jamais été menés à terme, faute d’argent, et le puits artificiel s’arrête à soixante-quatre mètres de profondeur sous le niveau du sol, soit vingt mètres avant le fameux bouchon de pierre à priori impossible à déblayer pour l’époque.
Des ouvriers avaient hélas périt dans l’entreprise et le chantier avait fini par être fermé.
Au XIXe et au XXe siècle, d’autres forages furent tentés, sans résultat. Les chercheurs officiels voulurent même faire sauter le bouchon de pierrailles de l’aven à la dynamite, sans autre résultat que de l’égratigner.
Depuis, les choses en sont restées là et l’oppidum dont les fortifications ont été rasées au XIXe siècle, est maintenant intégré à une vaste propriété privée.
On peut toujours y voir l’orifice de l’aven naturel conduisant au bouchon de pierrailles et, juste à côté, le trou de soixante-quatre mètres foré au XVIIe siècle pour vainement tenter d’atteindre les trois statues d’or.
TARASCON (13150) - Le trésor du roi René

Le château de Tarascon est l’œuvre des architectes du roi René. On dit qu’il renfermerait une partie de ses trésors.
Au XIXe siècle, un ouvrier qui y travaillait dégagea un vieux mur muni d’une porte de fer derrière laquelle se faisait entendre un épouvantable vacarme ininterrompu.
L’homme n’osa pas la forcer et l’on fit venir les magistrats de Tarascon pour faire procéder devant eux à son ouverture par des forgerons auxquels une belle prime avait été proposée.
Ils pénétrèrent alors dans un long souterrain et s’aperçurent que le vacarme infernal n’était que le bruit du courant du Rhône, amplifié par ce système de souterrains agissant comme un porte-voix.
On reboucha le tout et l’affaire en resta là, sans que l’on exécute la moindre recherche pour tenter de retrouver les trésors du roi René.

Var (83)
DRAGUIGNAN (83300) - Trésor de Sarrasins

Non loin de Draguignan, le sommet du Cerran est plus souvent désigné sous le nom de Chèvre-d’Or.
Cette appellation fait référence à une aventure qui y serait survenue à un paysan. II y cherchait l’une de ses bêtes depuis plusieurs heures, lorsqu’il fut attiré par des bêlements semblant provenir de sous la terre. II se glissa dans une faille du rocher et tomba dans une vaste salle où se trouvait l’animal, environné d’un trésor depuis longtemps accumulé là. Cette chèvre fit sa fortune.
La région de Draguignan, et particulièrement la zone sauvage que nous venons d’évoquer, est riche en salles souterraines, galeries et failles taillées par la nature à même la roche.
Quelques-uns de ces refuges avaient été utilisés par l’homme depuis la plus Haute Antiquité et, compte tenu des invasions que la région a connues au cours de son histoire, cette affaire de trésor n’a rien d’étonnant.
Il s’agira de quelque butin caché là par des Barbaresques, des Romains, des Maures, des Vandales, ou bien d’un magot d’origine religieuse ainsi protégé au temps des invasions.


SAINT-TROPEZ (83990) - L’or des musulmans d’Espagne
Alors que le nord de la France sortait des raids normands, que l’est était en proie aux hordes hongroises, le sud-est méditerranéen était pour sa part ravagé par les exactions de bandes musulmanes venues d’Espagne.
Elles trouvèrent refuge, à partir de 889, dans le massif des Maures, pas très loin de la côte et précisément au lieu-dit la Garde-Freinet.
De là, elles ravageaient la Provence, mais poussaient aussi leurs excursions jusqu’au Piémont et au lac de Constance.
Elles ne furent délogées de ce repaire par la force, qu’en 973, y laissant hâtivement cachés d’importants butins collectifs ou individuels.

Vaucluse (84)

CHÂTEAUNEUF-DU-PAPE (84230) - Trésor de brigands

Près de Châteauneuf, sur les bords du Rhône, s’élèvent encore les ruines du château de L’hers, bâti bien en hauteur, au-dessus du fleuve qu’il contrôlait.
Le seigneur des lieux se mit un jour en tête de faire payer un droit de passage aux bateliers.
Au XVe siècle, sa famille menacée d’excommunication dut cesser ces prélèvements arbitraires comme ses brigandages, sur ordre du pape qui alors résidait en Avignon.
Les mines du château sont supposées contenir un trésor, fruit de ces rapines et de quelques autres, toutes menées dans la région.
GORDES (84220) - Le trésor des moines de Sénanques
Près de Gordes, on peut encore admirer les vestiges de la très belle abbaye de Sénanques.
Pendant la Révolution, ses moines furent expulsés et leur trésor ne fut jamais être retrouvé.
Actuellement cette abbaye a été réhabilitée. Une communauté de moine y vit et elle peut être visitée.

Merci de m'avoir suivi à travers ces nouvelles histoires et à bientôt pour de nouvelles histoires de nouveaux trésors perdus, cachés, ou oubliés dans nos chères régions de France.
Amicalement

Faachar

jeudi 7 novembre 2013

(Limousin) Trésors perdus, cachés, oubliés des régions de France


Chère amis lecteurs et lectrices, me voici de retour pour vous présenter de nouveaux trésors perdus, cachés, ou oubliés dans nos chères régions de France.

Suite à la demande d’un fidèle lecteur Cyrille, cet article va être aujourd’hui consacré aux trésors de la région du Limousin proposé par M. Audinot à travers ces années de recherche des trésors perdus au cours des siècles.


Corrèze(19)

 
LAGRAULIERE (19700) - Des cloches noyées dans le Brézou

Lors de la destruction de la vieille ville de Tulle, les cloches de l’église roulèrent malencontreusement dans les eaux du Brézou. On tenta de les récupérer avec un système de treuils et de cabestans. Alors qu’elles allaient sortir des eaux, elles sombrèrent à nouveau, il ne fut pas possible de les localiser une seconde fois.

On sait qu’elles se trouvent dans un endroit où le ruisseau, après un cours resserré, se perd dans un gouffre dit Le Gour Nègre ou « gouffre des cloches » pour les initiés.

La tradition dit qu’autrefois, cette ancienne ville de Tulle se serait trouvée à l’actuel emplacement de la forêt de Blanchefort.

 
SAINT-GENIEZ-O-MERLE (19220) - La grotte où l’on entassait des trésors

Au Haut Moyen-Age, le seigneur du château de Merle fut mis, par un Sarrasin errant, dans le secret d’une grotte située sous son château et où autrefois, les envahisseurs avaient entreposé de grandes richesses accumulées par des rapines conduites dans la région.

Le seigneur de Merle découvrit la cache, laissa les trésors en place, utilisant ensuite la grotte pour entreposer aussi sa propre fortune.
 
Les générations qui suivirent fortifièrent le rocher, mais conservèrent jalousement le secret de l’antre souterrain qu’ils utilisèrent aussi, les uns après les autres, pour amasser leurs trésors.

Hélas, le secret du lieu se perdit avec le dernier descendant de la lignée, et dans les rocs que surplombe le château, on recherche toujours l’entrée de cette fameuse salle souterraine où sont ces dépôts datant du VIIIe siècle à la fin du Moyen Age.
 
TULLE (19000) - Des cloches noyées
 
Toujours dans le département de la Corrèze, on recherche encore les cloches du prieuré de Glény qui, à l’occasion d’un glissement de terrain, dévalèrent dans un gouffre profond de la rivière voisine.
 
... et certaines, enterrées
Près de Tulle, à Port-Dieu, les deux cloches de l’église furent enterrées dans un champ pour être soustraites à l’inévitable fonte. Seule l’une d’entre elles a depuis fortuitement été exhumée par un laboureur. Il serait heureux de retrouver l‘emplacement où eut lieu cette découverte, afin au moins de retrouver la seconde.
 
Le trésor des Ursulines
Le couvent des Ursulines de Tulle existe toujours, du moins en partie. Chassées à la Révolution, les religieuses y auraient caché de l’or et des objets du culte.

 
VALIERGUES (19200) - Le bois des Brigands
 
Ce massif forestier contient les vestiges d’un village situé sur un plateau et détruit dès le Moyen Age. On y parle d’une marmite pleine de pièces d’or que des brigands, qui occupèrent un temps les ruines, y auraient laissé.


Creuse (23)

LA CHAPELLE-SAINT-MARTIAL (23250) - Des cachettes à trésors aménagées dans la falaise

Les découvertes de petits trésors, de monnaies ou de bijoux isolés, ont été innombrables dans les souterrains-refuges de la Creuse. La plupart sont de petites cavités qui s’ouvrent le long des falaises bordant la rivière. Certaines ont été occupées dès les temps préhistoriques, puis réutilisées au cours des assauts vikings, pendant la guerre de Cent Ans et les guerres de Religion.

Ce qui rendait ces caches sûres, c’était avant tout leur inaccessibilité. Taillées dans les aplombs rocheux, elles ne sont plus, pour la plupart, abordables qu’en rappel, depuis les sommets. Toutes sont l’objet de traditions plus ou moins précises relatives à des trésors.

SAINT-PRIEST-PALUS (23400) - Le reliquaire de l’ordre de Grandmont

En 1790 et après de longs palabres, la paroisse de Saint-Priest-Palud recevait «une belle châsse en dos d’âne, couverte de lames de cuivre dorés et émaillés, ayant vingt-trois pouces de long sur neuf, six lignes de large et dix-huit pouces de hauteur».
Sa face postérieure était ornée de six tableaux en émaux illustrant la vie de sainte Ursule, dont quelques ossements se trouvaient enfermés dans le reliquaire.
Cette pièce, des XIIe ou XIIIe siècles, avait échu à l’église de Saint-Priest après le partage des biens de l’ordre de Grandmont, organisé par l’évêque de Limoges.

Pendant la Révolution, le curé de l’époque, M. Jean-Baptiste Meilhac, cacha ce joyau d’orfèvrerie limousine avant son arrestation et sa déportation à l’île d’Aix, où il mourut et fut inhumé.

Une chose est probable, c’est qu’un tel bijou n’aura sans doute pas été dissimulé en pleine terre, mais dans un endroit abrité. Au village, on a longtemps dit qu’il reposait sous l’une des plus anciennes pierres tombales du cimetière.

 
VAREILLES (23300) - L’une des caches du curé

En 1858, à l’occasion de travaux conduits dans l’église du village, on retrouva l’une des caches pratiquées par le curé en 1792 afin de soustraire à la fonte les objets les plus précieux parmi ceux dont il avait la garde. Elle avait été aménagée dans un mur et recelait une châsse en cuivre doré contenant des reliques de saint Gaucher et saint Psalmet.

 
Manquent toujours à l’appel les statues qui décoraient l’édifice et dont les encorbellements vides se voient encore. Ces statues sont supposées cachées dans l’édifice ou enterrées à ses abords.


Haute Vienne (87)


CHALUS (87230) — L’affaire du retable d’or

C’est la cupidité qui perdit Richard Coeur de Lion. 

En 1199, il vint mettre le siège devant la citadelle de Châlus, tenue par un de ses féaux, Adhémar de Limoges.
 
Un important trésor antique, une sorte de retable cri or massif pour certains historiens et juristes de l’époque ou des statues romaines du même métal selon d’autres sources, avait été découvert dans les champs entourant la ville. En droit féodal, ce trésor devait revenir au suzerain de la terre, donc à Richard.

Lors du siège, le roi d’Angleterre fut mortellement frappé par un carreau d’arbalète tiré des remparts. Le trésor, entre temps, avait été caché à nouveau.


De ce retable, on n’entendit plus jamais parler et les soldats de la garnison de Châlus furent pendus non à cause de la mort du roi, mais pour avoir organisé la soustraction du trésor.

En 1963, un paysan des environs de Châlus découvrit un trésor de monnaies antiques en labourant son champ. À l’époque, la vente des pièces constitua un véritable événement dans le domaine de la numismatique.

Cette trouvaille ne fit que relancer l’affaire du trésor de Châlus, qui, justement, à l’origine, devait bien venir des environs de quelque riche villa gallo-romaine.
 
La tradition veut que le retable, lui, soit toujours caché là où Adhémar de Limoges le fit murer pour le protéger des assauts anglais, quelque part dans les ruines du vieux château de Châlus.

Pour le reste, les économies de quelque riche propriétaire gallo-romain seraient encore à découvrir au lieu-dit Loriot, là où fut trouvé le trésor de 1963. C’est peut-être aussi de là que venait l’antique retable...


SAINT-AUVENT (87310) - Les cloches sont au fond de la Gorre

Le petit village de Saint-Auvent, avec son église du XIIe siècle, sommeille sur les rives de la Gorre, une belle rivière tumultueuse aux eaux parfois profonde.
Autre fois, le clocher possédait au moins deux cloches ou sonnailles, peut-être trois, qui avaient été parrainées par les seigneurs du village.
À une époque et pour des raisons indéterminées (guerre de Cent Ans, guerres de Religion ou Révolution), elles furent précipitées dans la Gorre où elles reposent encore.


Merci à toutes les personnes qui visitent ce blog et qui me témoignent de leur intérêt pour les trésors perdus.

Comme je les déjà dis, si vous vous connaissez des histoires de trésors perdus de votre région, n'hésitez pas à me les envoyer par mail afin que je les publie sur ce blog. 

Afin de satisfaire le plus grand nombre, je vais essayer de publier à partir de maintenant tous les 15 jours une nouvelle région de France des trésors perdus.
Amicalement
 
Faachar